MATTHIEU 6 : 9 -13 ET JEAN 3 : 26 – 27.

Trois pensées ont dominé notre message : la relation dans la prière, les fils d’un père et la demeure céleste.
Les deux premières, étant déjà abordées, il est question aujourd’hui de la troisième:
La demeure céleste.
Dans le contexte biblique nous entendons par demeure céleste, la résidence du père invoqué par les fils dans leurs prières.
Notre père qui es aux cieux, quels avantages tirer de cette position ?
Des textes bibliques suivants (Deutéronome 33 :13, Psaumes 33 : 6, Job 1 : 8, 12, Daniel 2 :10,11, Jacques 1 :17) Il ressort que ciel et ses équivalents sont maintes fois cités et nous démontrent que tout ce qui s’exécute, se réalise dans l’univers provient d’une décision céleste.
Jésus-Christ nous enseigne donc par cette prière de nous approcher du Père avec assurance (une assurance mêlée de fierté), toutes nos demandes, nos requêtes sont donc objets d’une réaction positive du Père. De ce fait, l’assurance est primordiale à la demande.
Les réponses à nos prières proviennent d’une décision du poste de commandement divin. Ne pas prier comme les étrangers, ni comme les païens en multipliant des vaines paroles (Matthieu 6 : 7).
Notre exaucement est, en clair, la décision de notre Père dans les cieux. Nous avons un Père, un vrai Père, un Père responsable. Soyons donc assurés quand nous le prions, car ce n’est pas notre prière qui nous exauce en réalité, plutôt notre relation avec lui. C’est lui qui commande, le centre de décision de tout ce qui se passe dans l’univers.
Jean-Baptiste a traduit cette pensée dans sa déclaration (Jean 3 : 26 – 27), si le ciel ne nous donne rien, alors ne forçons pas les choses !
Que de titres, honneurs, bénédictions… fabriqués !
Où as-tu reçu ce que tu as ? Quand le ciel décide sur nous, les moyens sont également programmés en avance. Si le ciel a déjà décidé sur nous, tout s’accomplira bel et bien. Qu’ai-je donc reçu du ciel, telle est la question que tout chrétien (tout homme), devrait se poser.
Nous sommes objet d’une décision céleste, Bien aimés.