Eben-Ezer : La puissance du cri de l’adopté -2-

CULTE DOMINICAL DU 11 AVRIL 2021

1 Samuel 7 : 7-9

Frère Pamphile VUNDA (Pasteur)

 

Comme dit dans notre introduction, nous vivons certaines expériences dans notre relation avec Dieu telles que la régénération, la justification, la sanctification et l’adoption. Cette dernière, avons–nous dit, nous change de place, de position. Dieu passe par l’adoption pour la survie d’un peuple, d’une nation. L’orientation de ses solutions ne dépend que de lui seul et de ses propres moyens.

 

Que faire lorsque notre oui rencontre le non de Dieu et vice versa? Deux choses à prendre en compte, l’humilité et la confiance en Lui.  Acceptons de Dieu ses solutions, ses moyens. Samuel (notre texte ci-haut cité), était donc une solution pour Israël et il nous enseigne sur les vérités suivantes :

 

  1. Par l’adoption, Dieu passe par l’adopté pour la survie du monde
  2. Tout adopté est, au départ, un porteur de solutions au monde
  3. Par l’adoption, ton frère devient la solution

 

De notre première vérité, nous comprenons que cette séquence d’événements nous montre comment la survie de toute une nation peut reposer dans le cri d’un seul individu, Samuel, l’adopté.

 

Aucune sagesse de l’homme ne peut comprendre l’adoption. Luc 5 : 4-9 nous confirme combien suivre cette sagesse de Dieu nous donne des résultats efficaces devant nos attentes. La sagesse de Dieu réussit toujours là où celle des hommes échoue ; cette sagesse paie toujours. Il nous convient de basculer dans cette sagesse par laquelle Dieu nous adopte et fait de nous un passage obligé pour faire revivre toute une nation.

 

Dans l’adopté, il y a la survie de tout un peuple, la prise en charge de toute une nation. L’adopté renferme en lui une puissance transformatrice de vies, dont l’exemple de Moïse nous dit plus dans Nombres 12 : 2-8 où la colère de Dieu s’arrêta devant l’attitude de mépris d’Aaron et Marie vis-à-vis de l’adopté Moïse. Cette capacité de prise en charge spirituelle des autres est une force transformatrice des futurs des autres.

 

Pour Israël devant Amalek (Exode 17 : 11-13), il a fallu que Moïse, l’adopté, ait eu ses mains levées pour la victoire. Certains succès, bien-aimé, sont des résultats des mains levées d’un adopté. De même devant les philistins où l’adopté fut Samuel.

Ne soyons pas oisifs, adoptés ! levons-nous comme Moïse, Samuel…pour fortifier nos familles, nos nations… car Dieu nous a adoptés pour engendrer des victoires. Alors levons-nous comme nous recommande Esaïe 60 : 1-3.

Adoptés, que faisons-nous ?

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